Description de la communauté oú ADAP travailler
Koutiala est la troisième ville la plus peuplée du Mali environ 200 000 habitants soit % d’enfants. Il est situé dans Sikasso, la troisième région du Mali. Koutiala est une ville cosmopolite et un carrefour, il est traversé par les axes Bamako – Ségou – Koutiala – Bobo Dioulasso (Burkina Faso) et l’axe Koutiala – Sikasso – Côte d’Ivoire. Les enfants sont très exposés, à cause du fort trafic routier sur les deux axes. Le cercle de Koutiala fait la plus grande production du coton au Mali (Nombre ou %). Les enfants sont aussi exposés à la déperdition scolaire à cause de la culture du coton en échange contre le matériel agricole temporaire ou l’argent pour la période des préparatifs des champs et pendant les récoltes qui coïncide à la rentrée et la fin de l’année scolaire. Et pire que encore le cercle de Koutiala à un taux de malnutrition très élevé au Mali %. Le taux de scolarisation est très faible ceux qui exposent les enfants aux durs travaux et aux trafics vers d’autres zones où ils sont exploités de toutes sortes.
Le dialecte de la majorité est le Minyanka tandis que le Bambara demeure de fait la langue de liaison la plus repartie. Les minyanka et les dionka sont traditionnellement des animistes. La société Minyanka ne connaît pas les barrières infranchissables entre les nobles et ceux qu’il est convenu d’appeler les gens de caste exceptés les cas des Markas – bani et celui des Coulés.
La désagrégation spirituelle due aux religions importées (Islam – Chretianisme) et à l’économie de marché, a contribué à l’éclatement des grands clans.
Dans son ensemble la population est stable. On note cependant quelques vagues de migrations temporaires en direction de Ségou, Bamako et Sikasso mais surtout de la Côte d’Ivoire où les immigrés forment des colonies de peuplement dotées de chef dans tous les centres urbains.
Le dialecte de la majorité est le Minyanka tandis que le Bambara demeure de fait la langue de liaison la plus repartie. Les minyanka et les dionka sont traditionnellement des animistes. La société Minyanka ne connaît pas les barrières infranchissables entre les nobles et ceux qu’il est convenu d’appeler les gens de caste exceptés les cas des Markas – bani et celui des Coulés.
La désagrégation spirituelle due aux religions importées (Islam – Chretianisme) et à l’économie de marché, a contribué à l’éclatement des grands clans.
Dans son ensemble la population est stable. On note cependant quelques vagues de migrations temporaires en direction de Ségou, Bamako et Sikasso mais surtout de la Côte d’Ivoire où les immigrés forment des colonies de peuplement dotées de chef dans tous les centres urbains.